en savoir plus
Permet à tous ses détenteurs d'obtenir 5% de réduction sur tous les livres lors du retrait en magasin (réduction non cumulable avec les réductions de type étudiant).
Offre également un certain nombre d'avantages auprès de nos partenaires.
Avec les favoris, retrouvez dans un espace les sélections effectuées au fur et à mesure de vos navigations dans le site.
Constituez pour votre usage personnel vos listes de livres en prévisions d'achats futurs et votre sélection d'articles, dossiers, événements, vidéos ou podcasts préférés ou à découvrir plus tard...
Il suffit simplement de cliquer sur "Ajout Favori" sur chaque page qui vous intéresse pour les retrouver ensuite dans votre espace personnel.
Requiert un compte Mollat
Requiert un compte Mollat
Etude sur l'importance économique, culturelle et artistique du cinéma singapourien : l'âge d'or des années d'après-guerre jusqu'aux années 70, la relative anomie des années 70-80, la renaissance des années 90 et l'apparition d'une nouvelle génération de cinéastes qui semble à même de percer sur la scène internationale. ©Electre 2025
Très largement méconnu, le cinéma singapourien existe ! Son âge d'or des années 1950-1960 est un paradis perdu à découvrir. Même la production des dix dernières années a échappé aux festivals et aux distributeurs. Le cinéma de Singapour se voit peu en dehors de Singapour...
Et pourtant, il y a certes longtemps, Singapour fut une des principales plaques tournantes du cinéma asiatique. Des années 1940 au début des années 1970, les empires cinématographiques des Shaw Brothers et de Cathay Organisation eurent une importance économique, artistique et culturelle considérable, rayonnant sur toute l'Asie du Sud-Est. L'industrie hongkongaise elle-même doit énormément à Singapour.
Aujourd'hui, et après de longues années de silence total sans aucune production, une génération nouvelle de cinéastes donne de la cité-État une nouvelle image. Certains, tels qu'Eric Khoo ou Royston Tan, se sont affirmés sur la scène internationale du cinéma d'auteur. D'autres, à l'instar de Jack Neo, développent un cinéma grand public et occupent une place de choix dans le box office local.
Quant aux Singapouriens eux-mêmes, ils sont restés l'une des populations au monde allant le plus au cinéma.
Sans doute le public actuel connaît-il avant tout l'art du Cameroun, des Bamoun, Bamiléké, Mousgoun, Matakam et des autres peuplades africaines par l'impact qu'ils ont eu sur la culture moderne et les traductions qu'en ont données Picasso, Braque ou Modigliani. Ces arts dits «primitifs» se confondent pourtant sur un ensemble de présupposés, de contextes culturels, sur des histoires, des visions du monde absolument autres, dont, souvent, on ignore tout. Notre ouvrage ouvre au non-initié, par-delà l'approche anthropologique des spécialistes, un chapitre inouï d'histoire de l'art et de l'architecture. Le lecteur pourra y apprécier dans toute sa splendeur, dans sa variété et sa puissance expressive, l'art d'un continent qui abrite plus de nations et de cultures que tous les autres.
Paru le : 01/04/2004
Thématique : Histoire du cinéma
Auteur(s) : Auteur : Raphaël Millet
Éditeur(s) :
L'Harmattan
Collection(s) : Images plurielles
Série(s) : Non précisé.
ISBN : Non précisé.
EAN13 : 9782747560559
Reliure : Broché
Pages : 143
Hauteur: 22.0 cm / Largeur 14.0 cm
Épaisseur: 0.8 cm
Poids: 174 g