en savoir plus
Permet à tous ses détenteurs d'obtenir 5% de réduction sur tous les livres lors du retrait en magasin (réduction non cumulable avec les réductions de type étudiant).
Offre également un certain nombre d'avantages auprès de nos partenaires.
Avec les favoris, retrouvez dans un espace les sélections effectuées au fur et à mesure de vos navigations dans le site.
Constituez pour votre usage personnel vos listes de livres en prévisions d'achats futurs et votre sélection d'articles, dossiers, événements, vidéos ou podcasts préférés ou à découvrir plus tard...
Il suffit simplement de cliquer sur "Ajout Favori" sur chaque page qui vous intéresse pour les retrouver ensuite dans votre espace personnel.
Requiert un compte Mollat
Requiert un compte Mollat
En février 1933, M. van der Lubbe, jeune chômeur révolutionnaire hollandais, met le feu au Parlement allemand, espérant créer un mouvement d'insurrection des ouvriers. A l'issue d'un procès, il est condamné à mort en janvier 1934. Cette synthèse entend mettre en lumière les véritables motivations de l'activiste et montrer comment la mémoire de cet événement a été falsifiée par certains historiens. ©Electre 2025
Au soir du 27 février 1933, un jeune chômeur révolutionnaire hollandais, Marinus van der Lubbe, mettait le feu au Parlement allemand. Il espérait ainsi donner le signal de l'insurrection des ouvriers d'Allemagne, encore solidement organisés et puissamment armés, contre un système qui venait de placer démocratiquement Hitler à sa tête avec la passivité complice des leaders «socialistes» et «communistes». Mais à l'aube du lendemain, la presse «ouvrière» était unanime à dénoncer la «provocation nazie» dont Van der Lubbe, arrêté en flagrant délit, aurait été l'instrument ; ses véritables motivations étaient noyées dans un flot de calomnies, et lui-même était décapité onze mois plus tard, broyé par les mensonges en miroir des machines de propagande nazie et stalinienne, au terme tragique d'une grotesque farce judiciaire. Le prolétariat allemand ne se souleva pas, et fut écrasé sous la botte nazie.
L'étude de Nico Jassies que nous avons traduite est l'indispensable synthèse des recherches les plus abouties sur l'incendie du Reichstag, faite en 2000 par l'un des meilleurs connaisseurs du sujet. Dans une postface inédite rédigée à l'attention du lecteur français, l'auteur montre comment la mémoire de l'événement a pu être si longtemps falsifiée, et peut l'être encore, par les historiens mercenaires partisans du grand sommeil, et dénonce aussi les manoeuvres de deux écrivains «libertaires» qui ont récemment instrumentalisé la vérité historique pour défendre sournoisement quelques-uns des mensonges qu'ils croient, ou feignent de croire, être la vérité d'aujourd'hui.
Paru le : 15/11/2004
Thématique : Allemagne
Auteur(s) : Auteur : Nico Jassies
Éditeur(s) :
Ed. Antisociales
Collection(s) : Non précisé.
Contributeur(s) : Traducteur : Quentin Chambon - Traducteur : Els van Daele
Série(s) : Non précisé.
ISBN : Non précisé.
EAN13 : 9782952109406
Reliure : Broché
Pages : 184
Hauteur: 21.0 cm / Largeur 14.0 cm
Épaisseur: 1.5 cm
Poids: 237 g