Le XVIIIe siècle a vu deux maçonneries s'affronter, la maçonnerie protestante des Orangistes et la maçonnerie catholique des Stuartistes. Une loge stuartiste du nom de Saint Jean d'Ecosse, fondée à Marseille le 17 juin 1751 sous l'impulsion d'un Ecossais, Georges Duvalmon, eut une postérité durable. Les rituels, sobres et traditionnels, servirent de base à d'autres rites. ©Electre 2025
Deux maçonneries se sont affrontées au XVIIIe siècle. La maçonnerie protestante (orangiste), et la maçonnerie catholique (stuardste).
Saint Jean d'Écosse, la mère Loge de Marseille rayonne, au-delà de sa Provence et du Languedoc, par un maillage efficace tout autour de la Méditerranée jusqu'aux colonies, notamment aux Antilles. Sous l'Empire napoléonien, la maçonnerie constitue un véritable appareil idéologique d'État ce que ne lui pardonnera pas la Restauration. Cette séquence marque la disparition définitive de cette puissante Mère Loge Écossaise qui a symbolisé la résistance maçonnique d'une métropole provinciale face à la centralisation parisienne et le rêve peut-être pas si insensé d'une République universelle des francs-maçons.
Cet ouvrage « Les sept grades de la mère loge écossaise de Marseille » témoigne des enjeux maçonniques qui perdurent de nos jours.
Paru le : 21/07/2008
Thématique : Sociologie de la culture Franc-maçonnerie - Histoire et essais
Auteur(s) : Non précisé.
Éditeur(s) :
Abatos
Collection(s) : Non précisé.
Contributeur(s) : Préfacier : Michel Iafelice - Auteur : Jean-Antoine-Guillaume Bailleul - Auteur : Mère loge écossaise de Marseille
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-917041-09-3
EAN13 : 9782917041093
Reliure : Broché
Pages : 202
Hauteur: 21.0 cm / Largeur 15.0 cm
Épaisseur: 1.6 cm
Poids: 320 g
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