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Du blason des chevaliers aux marques de fabrique

Auteur : Jean-Bernard Cahours d'Aspry

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Inventé au cours du XIIe siècle pour des raisons militaires (il fallait que les combattants puissent se faire reconnaître dans la mêlée), l'usage du blason s'est très vite répandu dans le monde médiéval. De l'écu à la bannière, il passa ensuite au sceau perdant dès lors son rôle strictement militaire.

Tout en demeurant signe d'identification, il revint aux femmes, aux bourgeois et aux vilains, aux communautés civiles (villes, corporations), aux communautés religieuses (abbayes, évêchés, etc.), aux ecclésiastiques et aux cleres.

Véritable signe d'appropriation marquant les monuments, les objets, les documents, le blason donna naissance à un art nouveau : l'art héraldique.

A la Révolution, assimilé faussement à la noblesse, il fut interdit, entraînant dans sa chute la destruction de nombreux édifices et œuvres d'art.

L'Empire le reconnut et la Restauration lui rendit sa liberté. Depuis tout le monde a droit de porter le blason et celui-ci est utilisé pour «ennoblir» les étiquettes de différents produits de consommation (alcools, vins, fromages, tabac, marques de voiture).

Cet art est aussi étroitement mêlé à l'Histoire : il permet d'identifier ou de dater des objets anciens, grâce aux figures de l'écu et à ses ornements extérieurs.

Fiche Technique

Paru le : 10/07/2000

Thématique : Généalogie

Auteur(s) : Auteur : Jean-Bernard Cahours d'Aspry

Éditeur(s) : Atlantica

Collection(s) : Non précisé.

Série(s) : Non précisé.

ISBN : Non précisé.

EAN13 : 9782843941894

Reliure : Broché


Poids: 440 g