Etude du chiffre 666 qui symbolise les crises de la fin des temps et le chiffre du diable, des origines babyloniennes jusqu'aux dernières manifestations underground. Analyse des coïncidences curieuses et des questions sans réponses qui démontre comment certaines peuvent s'expliquer à travers la tradition occultiste, les particularités mathématiques du nombre 666, la littérature... ©Electre 2025

Dans le langage de l'Apocalypse, le nombre 666 qui symbolise les crises de la fin des temps, a suscité les explications les plus étonnantes, voire les plus délirantes. Les folkloristes s'entendent pour dire que la fascination et la peur qu'il suscite est une des superstitions les plus répandues dans la culture occidentale. La démarche de l'auteur de ce présent livre se veut originale. Elle consiste à utiliser le nombre de la Bête comme un véritable fil rouge. Ce procédé révèle au passage bien des éléments culturels dans le labyrinthe ésotérique depuis les lointaines origines babyloniennes et jusqu'aux dernières manifestations underground. Certes, il était périlleux d'établir un bilan général des motivations et de la qualité des auteurs recensés. Le domaine investigué constitue, en effet, une nébuleuse dont les acteurs proviennent d'horizons différents. Le seul élément commun à bien des affirmations à propos du nombre 666 est certainement la superstition, processus métaphysique aussi vieux que le monde et qui est à la Tradition ce que les axiomes, par nature indémontrables, sont aux mathématiques. « Les êtres humains, notait Henry David Thoreau, sont probablement plus proches de la vérité centrale par leurs superstitions que par leur science. » Nul n'ignore que l'homme est à la fois raison et instinct, logique et intuition. Face aux mystères cosmiques, l'hémisphère gauche de son cerveau, rationnel, fonctionnera toujours de concert avec l'hémisphère droit, instinctif. Ce livre captivant s'efforce de lever un voile sur bien des coïncidences curieuses et des interrogations sans réponse. Il explique simplement comment certains d'entre elles peuvent se comprendre et s'éclairer partiellement.