Ce volume réunit les messages du Christ entendus par G. Buttini entre 1976 et 1978, par lesquels il lui révèle sa mission : celle de transmettre la parole divine et d'éclairer ainsi les rapports du monde matériel au monde invisible de Dieu. ©Electre 2025

Giuliana Buttin

Née à Gênes, le 27 août 1921, Giuliana Buttini épouse Luigi Crescio en 1945. En septembre 1946 naît leur fils Armando. Il leur sera enlevé, en pleine jeunesse, en 1967. Giuliana vit « une nuit obscure » avec de fortes tentations de désespoir et de révolte contre Dieu. Dure épreuve qui va la préparer à sa mission.

Le 27 juillet 1972 débutent les messages de Jésus. La nuit de Noël 1972, Jésus lui révèle sa mission : « Chaque créature a sa fonction, tu as celle-ci : laisser à Ma voix la première place. Quant aux autres voix (qui communiqueront avec Giuliana) elles ont mission de témoigner de la foi [...] Ces paroles ne doivent pas tomber dans l'oubli, surtout après ton parcours terrestre.» (24.12.1972)

Suite aux publications de Ma vie à Nazareth (dictée par Marie), Les Dictées de l'ange (dictées par Astralio, l'ange gardien du fils décédé de Giuliana) et du premier volume La Parole (dictée par Jésus de 1972 à 1975), voici le second volume, La Parole continue dans le signe des temps (dictée par Jésus de 1976 à 1978), d'une série de huit volumes. Oui, ici nous retrouvons Jésus dans la fraîcheur des Evangiles.

« Cette nuit-là, la dernière que j'ai passée avec ma Mère, avant d'aller dans le monde, je suis resté éveillé près d'elle et nous nous sommes entretenus longuement... "Maman, tu seras avec moi, même si tu restes ici, tu le sais, nos coeurs sont un seul coeur !" - "Jésus, porter la lumière dans le monde est chose merveilleuse, mais cette lumière part de la douleur, ma douleur en cette séparation et elle culminera dans la douleur !" - "Je le sais, maman ; c'est pour cela que je te dis que la douleur est vie !" Et à vous je dis encore en vérité ces paroles : "Mes créatures, la douleur est vie, vie de l'âme, purification pour qui souffre en son âme et en son corps. La douleur est un don et vous le comprendrez quand vous connaîtrez toute sa valeur au-delà du temps." - "Voici l'aube, maman. Je dois partir." Sa tête s'est posée sur mon coeur ; que de douceur ! Je l'ai embrassée et elle me dit en pleurant : - "Va porter la lumière. C'est ta première aube. Va, mon Fils. Je sais que le monde a besoin de toi !" » (12.12.1978)