Une réflexion sur la place des plus riches dans l'économie et comme facteur indispensable à la croissance. Selon l'auteur, il faut déconsidérer les bureaucrates pour permettre aux mesures économiques et fiscales de sortir la France du chômage et de la misère et permettre ainsi de relancer la croissance. ©Electre 2025

Si vous voulez être un auteur à succès, faites la chasse aux milliardaires ; c'est à la mode et cela rapporte. Chacun le sait, ils ont détourné la richesse collective, il faut leur faire rendre gorge par l'impôt.

Mais pourquoi les pays où il y a la plus grande densité de milliardaires ont-ils le plus de croissance ?

Pourquoi la France compte-t-elle le plus petit nombre de milliardaires et le chômage le plus élevé et le plus persistant ?

Loin de pomper la richesse d'un pays, ces milliardaires ne seraient-ils pas ceux qui la créent ?

Et ceux qui les fustigent ont-ils partie liée avec les énarques et les étatistes, ceux qui vivent de l'état ? Les énarques qui ont envahi Bercy et, dans l'ombre, contrôlent Parlement et même Elysée ?

Ceux qui ont bloqué les mesures qui auraient pu créer des vraies entreprises employeuses et multiplié les villages Potemkine de l'emploi, en carton-pâte ?

Pour relancer la croissance, il faut comprendre comment une très petite minorité a su infecter l'opinion publique avec des statistiques truquées et une idéologie qui tient lieu de science économique. Il faut comprendre pour permettre aux mesures économiques et fiscales qui ont réussi ailleurs d'être adoptées et de nous sortir du chômage et de la misère.

Écrit avec deux économistes par un énarque, polytechnicien, inventeur produit mondialement, cet essai reprend des travaux de la remarquable équipe de la Fondation iFRAP et d'une jeune association d'anciens chefs d'entreprises. Il s'appuie sur une discipline économique récente développée en France par l'Institut de recherche IRDEME, pour démonter les désinformations des services officiels qui, au nom de la lutte contre les inégalités, créent la pire d'entre elle : le chômage.