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L'auteur de ce journal réagit aux premiers cent jours de la présidence de Sarkozy. Selon la méthode que Montaigne revendique dans ses essais, il alterne commentaires sur les premiers actes du nouveau président et propos philosophiques sur les fondements de l'idée de nation. ©Electre 2025
Méfiez-vous de la première impression, c'est la bonne.
L'auteur de ce journal réagit aux premiers « cent jours » de la présidence de Sarkozy, prémisses de ce qui devait suivre.
Il y réagit librement, sans ordre prédéterminé, selon la méthode que Montaigne revendique dans ses essais, alternant le commentaire des premiers actes du nouveau président et, par xexemple, un dialogue philosophique très approfondi sur les fondements de l'idée de nation.
Simon Archipenko est républicain, sans doute plus que ne l'était Voltaire dont il se réclame.
Et c'est à juste titre qu'il voit dans les actes du nouveau président des manquements aux traditions républicaines, peut-être même la volonté de les subvertir radicalement.
Que la République, dans sa tradition française, ait eu affaire à l'argent, les marxistes qui parlaient de la « République bourgeoise » nous avaient déjà prévenu. Des excentricités du Directoire (la Première République ne s'arrêta pas au 9 thermidor !) aux affaires qui sont ponctué la Troisième (Wilson, Panama, Stavisky etc.), la collusion de la République avec l'argent est avérée. Elle ne le fut cependant jamais de manière aussi ouverte, aussi vulgaire, que dans la fameuse nuit du Fouquet's (antithèse sans doute de celle du 4 août) que celui que l'auteur appelle, justement le « parvenu de l'Elysée » offrit à ses amis, généralement fortunés, après sa victoire.
Paru le : 11/04/2011
Thématique : Actualité Sciences politiques
Auteur(s) : Auteur : Simon Archipenko
Éditeur(s) :
la Plume de poids
Collection(s) : Non précisé.
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-9538984-1-5
EAN13 : 9782953898415
Reliure : Broché
Pages : 423
Hauteur: 21.0 cm / Largeur 15.0 cm
Poids: 0 g