Ce pamphlet contre l'influence des puissances coloniales sur l'Afrique noire, et sur le Cameroun en particulier, met en cause l'action de personnes telles que de Gaulle ou Ahidjo, présentées comme artisans de l'aliénation du peuple camerounais. L'engagement dans un combat pour la libération de celui-ci, y compris par la lutte armée, est encouragé. ©Electre 2025

Nous sommes informés que le troisième Tome de ce livre a paru. Il fait donc partie des (7) sept autres que les Editions Menaibuc vont encore diffuser.

Le thème de ce troisième Tome n'a pas changé. Il reste le même, que nous avons développé en vue de soutenir une thèse de doctorat d'Etat en philosophie.

Dès lors, pour beaucoup de raisons, nous avons abandonné ce projet qui, somme toute, n'allait pas permettre une aussi large diffusion comme il est précisément le cas, grâce aux Editions Menaibuc.

Cette nouvelle voie que nous avons empruntée, nous semble autant, sinon la plus indiquée et la plus vaste, qui donne, laisse, offre et ouvre les occasions à beaucoup de personnes de tous les pays du monde, de pouvoir prendre aussi calmement, librement que nécessairement part à la réflexion philosophique collective à laquelle ils et elles sont aussi amicalement que fraternellement conviés à travers ces livres.

Cette méthode à laquelle nous procédons, sans nous tromper peut-être, est la plus appropriée et aussi la plus efficace pour une plus large diffusion. Prévenir valant mieux que guérir, n'est-il donc pas intellectuellement honnête de notre part, de faire comprendre désormais aux lectrices et lecteurs, que, pour des raisons aussi sublimes que suprêmes, qui sont pour nous aussi essentielles, indépassables qu'inchangeablement fondamentales humainement parlant, raisons que nous avons aussi amplement, largement que longuement explicitées chaque fois par ailleurs, sans discontinuer même un tout petit peu seulement, que nous employons la pèrissologie. Autrement dit, que nous nous répétons, et que nous insistons un peu beaucoup sur la situation absolument infernale dans laquelle se trouvent les masses populaires des pays du Tiers-monde en général, celles des pays d'Afrique Noire en particulier. Surtout celles de ces pays d'Afrique Noire-là.

Ce style de notre part, ne devrait donc pas, soit acidifier, soit aigrifier, soit, à plus forte raison, faire dégoûter la délectation et le délice avec lesquels les lectrices et les lecteurs savourent et partagent nos réflexions par rapport a un sujet aussi super important que singulièrement immense qui concerne l'Humanité entière.

Cette Humanité qui, d'ailleurs, continue, sans le moindre freinage à se déshumaniser de plus en plus irréversiblement. Cette déshumanisation, quant à nous, ne se manifeste par rien d'autres, que par d'indéchiffrables victimes universellement intermédiées en général par celles des pays du Tiers-monde en particulier, par celles des pays d'Afrique Noire notamment.

Ces innombrables victimes innocentes ne sont pourtant autres, sinon que des êtres humains, au même titre que tous les autres êtres humains.

Les nous-mêmes autres ou les autres nous-mêmes !