Face aux problèmes sociaux, chacun s'estime victime et jamais responsable. S'appuyant sur l'exemple de l'école, les auteurs dénoncent ce sentiment d'impuissance. Au moyen de portraits d'élèves, d'enseignants et d'acteurs sociaux, ils préconisent de faire confiance à l'intelligence collective, dans une sorte de thérapie sociale et de renouer ainsi avec la démocratie. ©Electre 2025
C'est la faute à... gouvernement, profs, parents, jeunes...
Comment changer les autres ? Chaque jour, nous constatons notre impuissance à voir évoluer le monde dans le sens que nous souhaitons. Cette frustration et son corollaire, la violence, sont des symptômes majeurs.
Kevin est en échec scolaire, insolent. Les enseignants sont démunis, exaspérés, les parents sont dépassés, accusateurs. Souvent, dans certaines classes, « on fait vingt-cinq minutes de social sur cinquante-cinq minutes de cours », avoue un prof, « on se débrouille, ou pas »...
Changer les autres, on ne peut pas. Se changer seul ?
C'est une goutte d'eau. Les auteurs nous offrent une nouvelle direction : la thérapie sociale, changer avec les autres.
L'école est une priorité. Charles et Théa Rojzman nous proposent de prendre le risque d'une démocratie vivante, ils nous en donnent ici les outils.
Paru le : 01/02/2006
Thématique : Sciences politiques
Auteur(s) : Auteur : Charles Rojzman Auteur : Théa Rojzman
Éditeur(s) :
Lattès
Collection(s) : Non précisé.
Série(s) : Non précisé.
ISBN : Non précisé.
EAN13 : 9782709624114
Reliure : Broché
Pages : 235
Hauteur: 23.0 cm / Largeur 14.0 cm
Poids: 312 g
Carte fidélité
Mollat Radio
