La thèse de médecine soutenue en 1950 par le fondateur de la clinique de La Borde, autour des rapports de l'art et de la folie, de l'imaginaire esthétique comme facteur d'intégration biopsychologique. Avec des textes sur Auguste For, Benjaminin Arneval et Aimable Javet, représentatifs de l'Art brut. ©Electre 2025
Présentée en 1950 sur la base d'un travail engagé avec Jean Dubuffet, la thèse de Jean Oury est une occasion «d'essayer de démystifier des idées, des mots dont on abuse, l'art, la folie, les schizos, la création, etc.» Précédée des textes parus dans les cahiers de l'Art Brut sur Auguste Forestier, Arneval, Aimable Jayet, cette publication offre «l'intérêt scripturaire d'une époque, celle de la fin des années quarante, avec cette misère encore toute proche qui nous obligeait à retisser dans le silence une toile déchirée, arrachée, effilochée. Travail sur un effilochage ! C'est peut-être ça, sans prétention d'oeuvre, même pas "d'absence d'oeuvre", comme le disaient Mallarmé et Blanchot. Au plus proche peut-être de ceux qui ont cette naïveté bizarre de ne pas trop savoir».
Paru le : 01/07/2005
Thématique : Textes de psychanalyse
Auteur(s) : Auteur : Jean Oury
Éditeur(s) :
Editions Le Pli
Collection(s) : Clinique et création
Série(s) : Non précisé.
ISBN : Non précisé.
EAN13 : 9782914932097
Reliure : Broché
Pages : 171
Hauteur: 23.0 cm / Largeur 14.0 cm
Épaisseur: 1.2 cm
Poids: 238 g
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