L'intégrale du spectacle de l'humoriste sur le monde de la télévision, l'actualité et la politique, avec des sketches évoquant le mariage du prince Charles et de Camilla commenté par Léon Zitrone, les discours du changement de Nicolas Sarkozy, ceux de Johnny Hallyday, des portraits acides de T. Ardisson, L. Ruquier, M.-O. Fogiel et d'autres animateurs du PAF. ©Electre 2025

«D'accord, la télévision est un formidable instrument de savoir. Mais c'est aussi une source inépuisable de connerie... et du coup d'inspiration. Parfois, elle allait plus vite que nous dans la bêtise. Il fallut souvent s'adapter et réadapter le spectacle, mais comme elle ne cessait jamais de nous fournir de la matière première, on s'est bien amusés... Et on a bien flingué.»

Laurent Gerra

En flinguant la télé, Laurent Gerra n'égratigne pas seulement les vedettes du petit écran, depuis l'âge d'or d'un Guy Lux ou d'un Léon Zitrone, jusqu'à l'âge de bronze d'un Thierry Ardisson ou d'un Marc-Olivier Fogiel. Pour notre plus grand plaisir, tout le monde en prend pour son grade ! Voici les textes hilarants et décapants de Laurent Gerra flingue la télé, parmi lesquels :

Le mariage de Charles et Camilla, par Léon Zitrone «Give me the butter ! Give me the butter ! Mais non, pas le beurre salé, grand con, ça irrite !»

La téléréalité de Giscard «C'est tout de même moi qui ai eu le premier l'idée, n'est-ce pas, d'installer des caméras de télévision toutes les Saint-Sylvestre, chez moi, devant ma cheminée, avec ma bonne femme. En 1981, victime de mon invention, les téléspectateurs ont tapé 2 et j'ai été viré de La Ferme»

Jack Lang et les présidentielles «Faisons un bref tour d'horizon : François Hollande... Ce porcinet sudoripare qui a le charisme d'un beignet... Aucune chance ! Même au Congrès du Mans il faisait ton sur ton avec la rillette !»

Qui veut passer pour un con ? avec Jean-Pierre Foucault

Les Victoires de la musique «Yo, yo, yo, foutr' laââ merde ! Yo, foutr' laââ merde...»

Le télécon de Gérard Holtz «Mo-bi-lisez vous !»

Les voeux du président Nicolas Sarkozy «Mes chers amis, pendant la campagne je vous avais promis la rupture : ben voilà, y'en a déjà deux ! La mienne avec ma femme, ça c'est fait, et l'autre avec les syndicats de feignasses !»