A travers les dialogues de promeneurs fictifs, le médecin évoque la Covidie, ce nouveau monde issu de la pandémie de Covid-19. Cinq thématiques qui caractérisent la Covidie sont abordées : les origines suspectes du virus, son degré réel de virulence, les traitements, les vaccins et enfin les effets indésirables de ces derniers et le Covid long. ©Electre 2025

Depuis novembre 2019 se déploie sous nos yeux un monde nouveau, dont la Covid-19 est révélatrice, que Michel de Lorgeril qualifie de « Covidie ».

Est-ce une banale maladie provoquée par un virus lui-même banal ? Plus pernicieux, serait-ce un virus fabriqué ? Est-ce une maladie grave ? Les vaccins sont-ils efficaces ? Qui est menacé de Covid Long et existe-t-il des traitements ? Et bien d'autres questions...

Pour analyser ces problématiques, l'auteur met en scène des promeneurs : des professionnels et des observateurs des systèmes de soins ayant des cultures médicales et scientifiques différentes, et qui dialoguent amicalement. Les promeneurs se livrent à une déconstruction systématique du mode de pensée et du savoir conventionnel et officiel sur la Covidie, ses causes et ses conséquences. Comme les militaires, ils réalisent un « retour d'expérience » auquel les gouvernants et les autorités sanitaires partout dans le monde se refusent.

Les informations, les révélations et les explications se succèdent à grand rythme, éclairant ainsi celles et ceux qui ont compris que quelque chose d'exceptionnel était survenu, mais qui n'en voient ni les conséquences ni les origines.

« La Covidie est un pays que vous ne trouverez pas sur un atlas ou par géolocalisation. C'est comme une île volcanique sortie de l'océan au moment d'une éruption sous-marine. Nous l'avons tous observée, mais bien peu l'ont comprise. C'est en dialoguant que les promeneurs en Covidie vont découvrir ce qu'elle est vraiment, ce qu'elle nous dit de notre époque et ce qu'elle annonce, j'ai eu l'impression, au cours de ces quatre dernières années, de vivre au coeur d'une de ces étranges enquêtes historiques de José Luis Borges. »