Des amitiés avec des poètes et des peintres, une promenade silencieuse, une escapade dans les contrées du coeur. Treizième recueil de B. Perroy. ©Electre 2025

Sur la plus haute branche n'est pas la quête des cimes ! Bernard Perroy cite en exergue les mots d'Anne Perrier : « Nous avions cru chanter sur la plus haute branche et nous n'étions qu'à peine au-dessus des grenouilles. » Ces poèmes témoignent plutôt d'une traversée : celle des jours, des paysages, des rencontres... Celle de toute vie avec ses attentes, ses surprises, ses maladresses ou ses éblouissements. Des mots échoués sur l'établi du temps. Des amitiés avec poètes et peintres. Une promenade bavarde ou silencieuse dans les déserts, les bocages ou autres pays rencontrés sur cette terre. Une escapade aussi dans les contrées du coeur. Une marche vers les racines et les sources, vers l'infini de nos pas sans oublier cet enchantement qui nous anime de l'intérieur ou ces enjambées dans les territoires du sourire...

« Je veux vous dire le plaisir que j'ai eu : une joie complice à la lecture de vos poèmes chargés de lumière » Yves Perrine

« Oui, vous y semez, tous les poèmes, à vrai dire quand ils sont justes, disent l'espoir, ce sont bien des racines et des sources, ils nous font entendre cette voix frêle, la seule intense, la seule sûre, la vôtre parce qu'elle est aussi celle de tous. » Pierre Dhainaut

« Votre parole poétique a la fraîcheur et la tremblante autorité de l'expérience (...) J'y ai retrouvé cette disponibilité au monde offert, cette douce ignorance, cette marche flexible qui va de l'avant. » Jean-Pierre Lemaire

« J'aime beaucoup votre écriture simple, concise et directe - et même semble-t-il, assez proche de la mienne ». Hamid Tibouchi

« La sobriété fervente de ses mots touche au coeur (et) dénoue avec bonheur et patience, ce quelque chose qui habite et incendie nos coeurs, et l'apaise ensuite d'une douceur obstinée. » Jean-Luc Maxence

« Oui, il y a une liberté nouvelle : une voix désormais assurée et une forme solide. Vos textes sont aujourd'hui assez grands pour aller leur propre chemin. » Gérard Pfister

« Vos poèmes en peu de mots parlent à propos de l'essentiel. » Jean-Pierre Boulic