Robert Cope Harland vient de mettre fin à sa carrière d'agent secret pour le compte de la Grande-Bretagne. Il travaille désormais pour la Croix-Rouge et les Nations unies. Douze ans plus tard, il est le seul survivant d'une catastrophe aérienne au pied de Manhattan. Attentat ? Sabotage ? Robert comprend que la réponse se trouve liée au passé qu'il désespérait d'oublier... ©Electre 2025

Peut-on cesser d'être agent secret et refaire sa vie ? Tel était le plan de Robert Cope Harland quand il a quitté le service du M16 pour oeuvrer au sein des Nations-Unies. Jusqu'au jour où, seul survivant d'un crash aérien, il est amené à chercher l'explication de cet attentat. Lui faut-il enquêter du côté des criminels de guerre responsables d'atrocités en Bosnie et du Tribunal international de La Haye pour lequel travaillait l'un de ses infortunés voisins dans l'avion ? Ou dans son passé, au sein des services secrets anglais qui semblent désormais le traquer comme un ennemi ? Sans oublier son fils, dont il ignorait jusqu'alors l'existence, celui qu'il aurait eu avec Irina, une très belle Tchèque au rôle trouble...

Un récit haletant digne des meilleurs John Le Carré : Henry Porter renoue ainsi avec la plus pure tradition du roman d'espionnage qu'il fait entrer par la grande porte dans le nouveau millénaire.

Vendu à plusieurs centaines de milliers d'exemplaires en Grande-Bretagne, en Italie et aux Etats-Unis, Une vie d'espion est l'objet d'un projet d'adaptation au cinéma par l'acteur anglais Michael Caine.

Henry Porter, né en 1953, vit entre Londres et New York. Une vie d'espion est son second roman.

«Le roman d'espionnage du nouveau millénaire, à l'intrigue précise et aux personnages parfaitement campés.»

Sunday Times.

«Une vie d'espion est un thriller dont le rythme et le tempo sont parfaitement maîtrisés. Porter entraîne son lecteur dans une course-poursuite infernale sans jamais lui lâcher la main.»

Spectator.

«On croyait le roman d'espionnage entièrement mort ou à l'agonie. Henry Porter est là pour prouver qu'il est toujours bien vivant - et de la meilleure étoffe.»

Daily Mail.