en savoir plus
Permet à tous ses détenteurs d'obtenir 5% de réduction sur tous les livres lors du retrait en magasin (réduction non cumulable avec les réductions de type étudiant).
Offre également un certain nombre d'avantages auprès de nos partenaires.
Avec les favoris, retrouvez dans un espace les sélections effectuées au fur et à mesure de vos navigations dans le site.
Constituez pour votre usage personnel vos listes de livres en prévisions d'achats futurs et votre sélection d'articles, dossiers, événements, vidéos ou podcasts préférés ou à découvrir plus tard...
Il suffit simplement de cliquer sur "Ajout Favori" sur chaque page qui vous intéresse pour les retrouver ensuite dans votre espace personnel.
Requiert un compte Mollat
Requiert un compte Mollat
Catalogue consacré aux représentations des animaux dans l'art japonais entre Edo et le début de Meiji. S'appuyant sur des témoignages d'Occidentaux ayant séjourné au Japon, les contributions mettent en lumière les évolutions ayant émergé avec l'ouverture du pays dans cette production particulière, qui contient autant de peintures que de céramiques. ©Electre 2025
Aux XVIIIe et XIXe siècles, Tokyo s'appelle encore Edo. Profitant d'une période de paix remarquablement longue, la capitale shogunale est une ville immense de plus d'un million d'habitants. Dans cet environnement urbain, les animaux sont partout présents. Cependant, les chasses régulières des shoguns et des seigneurs à la périphérie de la ville forcent les espèces sauvages, qui voient leur habitat se réduire, à se réfugier dans des zones montagneuses reculées.
Les chevaux militaires sont naturellement nombreux quand Edo devient la capitale des guerriers. Ces animaux serviront ensuite essentiellement au transport des légumes et autres marchandises dans les différents quartiers, puis des personnes avec l'apparition de nouveaux moyens de transport au cours de l'ère Meiji (1868-1912). Si les habitants d'Edo aiment s'entourer d'animaux de compagnie tels que chiens, chats, cailles ou lapins, ils sont fascinés par les animaux rares et exotiques. Importés de l'étranger, les éléphants, tigres et chameaux attirent les foules dans des attractions foraines, ancêtres des zoos qui verront le jour dans l'archipel à la fin du XIXe siècle. Écouter le chant des grillons en été ou ramasser des coquillages à marée basse au printemps fait aussi partie de ces plaisirs qu'affectionne la population d'Edo, sensible au changement des saisons. Les motifs animaliers symbolisant les quatre saisons ornent d'ailleurs nombre de kimonos, objets du quotidien et jouets, de même que la carpe, la souris et les autres créatures considérées comme de bon augure.
Ce bestiaire foisonnant est présenté dans ce catalogue retraçant l'histoire des relations des habitants d'Edo, qui deviendra Tokyo en 1868, avec les animaux. Une symbiose parfois inattendue que nous donne à voir une centaine de superbes estampes ukiyo-e, peintures et objets usuels.
Paru le : 18/11/2022
Thématique : Généralités Histoire de l’Art Art du Monde
Auteur(s) : Non précisé.
Éditeur(s) :
Gourcuff Gradenigo
Collection(s) : Non précisé.
Contributeur(s) : Directeur de publication : Koyama Shûko - Directeur de publication : Tomoko Kawaguchi - Directeur de publication : Naoko Nishimura - Traducteur : Corinne Atlan
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-35340-373-8
EAN13 : 9782353403738
Reliure : Broché
Pages : 159
Hauteur: 24.0 cm / Largeur 17.0 cm
Épaisseur: 1.3 cm
Poids: 528 g