En novembre 1808, l'Espagne et la France s'affrontent. Les insurgés chassent de Madrid le roi imposé par Napoléon, son frère Joseph. Parmi les troupes rassemblées pour la reconquête, le capitaine Adrien tombe amoureux de Dona Flor, la fille d'un ministre du roi français. Celle-ci rejoint son ami d'enfance, Don Guillermo, devenu chef d'une armée secrète. ©Electre 2025

« L'incroyable odyssée d'Adrien, capitaine français, à la recherche de Doña Flor à travers l'Espagne, insurgée contre les envahisseurs, les soldats de Napoléon. »

Novembre 1808. L'Espagne est soulevée contre l'envahisseur français.

Les insurgés ont chassé de Madrid le roi imposé par Napoléon, son frère Joseph.

Parmi les troupes rassemblées pour la reconquête, un capitaine de dragons, Adrien, tombe éperdument amoureux de Doña Flor, la fille d'un ministre du roi français.

Adrien apprend l'enlèvement de Flor par une bande de guérilleros et obtient de partir à sa recherche. En réalité, la jeune fille a rejoint un ami d'enfance, Don Guillermo, devenu le chef d'une armée secrète, sous le nom de l'Abogado (l'Avocat).

Au coeur de la Serrania de Cuenca, de ses paysages étranges et fascinants, dans une incroyable forteresse souterraine sont célébrées les noces de Doña Flor et de l'Abogado. Cependant, Adrien parcourt les routes à la poursuite de Flor. Ce voyage périlleux le confronte aux désastres d'une guerre particulièrement atroce.

Grièvement blessé, Adrien finit par être capturé par son rival au moment où celui-ci a décidé de reprendre aux occupants la ville de Molina, le jour de la Chandeleur.

Masqués et costumés comme « les diablos », qui, chaque année ce jour là, créent un énorme désordre dans la ville, les partisans s'emparent des canons de la citadelle d'où ils bombardent la ville basse.

La brigade française est obligée d'évacuer Molina.

Un coup de théâtre vient alors bouleverser le destin de Doña Flor et des deux hommes qui l'aiment.

Dans un cadre grandiose ou sauvage évoluent des personnages hauts en couleur ; les péripéties spectaculaires abondent tels la charge des cavaliers polonais à Somosierra ou le charivari des diablos, contrastant avec l'évocation des paisibles campagnes limousines qu'Adrien a quittées pour se faire soldat.