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Marcus, jeune informaticien, n'a pas voulu renoncer à ses idéaux humanistes et à son libre arbitre malgré les promesses de vie facile faites à ceux qui intègrent le Centre monopolitain. Alors que la mérule gangrène le monde et la société, Marcus entre en dissidence et rencontre Vera, échappée du Centre, qui l'entraîne dans ses pratiques sexuelles déviantes. ©Electre 2025
Après le « Meilleur des Mondes », imaginé par Aldous Huxley... Après « 1984 » de George Orwell, Mathias Ollivier produit une oeuvre dans la lignée de ses pairs.
Dans ce roman, la mérule (Nom latin : serpula lacrymans), sert de métaphore et de fil rouge, pour désigner tout ce qui nous envahit et nous bouffe. L'impact que ce type de roman a sur la science-fiction amène à qualifier de « dystopie » tout texte d'anticipation sociale décrivant un avenir sombre. Il décrit une société étouffée par la course effrénée à la consommation illusoire. L'action se déroule dans un univers décadent, à une époque comparable à celle de la « chute de l'Empire Romain » ; sous la pression d'un système dictatorial contemporain qui offre toutes les apparences de la démocratie, mais dans lequel les citoyens sont contraints à n'avoir plus qu'un seul amour : celui de leur servitude. Avec ce titre « clin d'oeil », Mathias Ollivier, renvoie à la société son image. Il balance sa vision d'un monde en bout de course, qui se dévore lui-même. Un monde absurde, peuplé d'usagers, dématérialisés, manipulés, par les détenteurs du pouvoir économique et politique.
« 1985 » s'oppose à l'utopie. Plutôt que de présenter un monde parfait, « 1985 » propose le pire qui soit. Sans doute est-ce pour que l'on consente à le rendre meilleure ? C'est l'une des intentions de l'auteur dont le style ne laisse pas indifférent. « 1985 » perturbe un peu et interpelle beaucoup ; en ces temps de crise économico financière et révolutions technologiques, qui ébranlent les systèmes à l'échelle planétaire. Un certain nombre de faits désormais avérés amènent, en effet, à se demander comment l'on pourrait échapper aux projets du « nouvel ordre mondial » et préserver certaines valeurs. L'arguement littéraire développé dans ce roman iconoclaste est proche de notre réalité sociale tout en dénonçant les dérives d'un futur proche ; ce qui lui ajoute une dimension tangible.
Demain, c'était hier...
Paru le : 05/09/2018
Thématique : Science Fiction
Auteur(s) : Auteur : Mathias Ollivier
Éditeur(s) :
Art-Access
Collection(s) : Les fortes plumes
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-36185-042-5
EAN13 : 9782361850425
Reliure : Broché
Pages : 380
Hauteur: 22.0 cm / Largeur 14.0 cm
Épaisseur: 3.0 cm
Poids: 200 g