Boris Cyrulnik évoque également l'importance des rituels religieux pour la cohésion sociale et le développement des enfants, soulignant que les cultures qui maintiennent leurs traditions religieuses et rituelles offrent un cadre sécurisant pour leurs membres, même en situation de migration ou de crise. Il met en garde contre les dangers des communautés religieuses fermées et exclusives, qui peuvent mener à des attitudes perverses et destructrices envers ceux qui ne partagent pas les mêmes croyances. Par ailleurs, il plaide pour une approche plus inclusive et compréhensive de la spiritualité dans la thérapie, en reconnaissant son rôle dans la santé mentale et le bien-être global des individus.