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Constatant que pendant la prohibition aux Etats-Unis, sans la pègre, les musiciens de jazz afro-américains connus dès 1920 tels que Duke Ellington, Louis Armstrong ou King Oliver n'auraient pu jouer dans les clubs, l'historien met en évidence les liens entre jazzmen et gangsters, pendant près de soixante ans, dans des villes comme La Nouvelle-Orléans, New York, Chicago, etc. ©Electre 2025
Le Jazz et les gangsters
Que seraient devenus Duke Ellington, Louis Armstrong, Earl Hines ou King Oliver sans les gangsters qui les employaient ?
Ces mobsters et ces racketeers, souvent juifs ou siciliens, n'étaient pas aveuglés par les préjugés racistes qui empêchaient l'establishment blanc d'apprécier et de soutenir les musiciens noirs. Dans les clubs qui proliférèrent pendant la Prohibition, ils assurèrent la sécurité de l'emploi nécessaire à la constitution d'orchestres stables et à la maturation d'un style. Et ce sont les politiciens conservateurs qui, en faisant de la Mafia leur bouc émissaire, ont mis fin à l'âge d'or du jazz.
À l'appui de cette thèse étonnante, Le Jazz et les gangsters propose une enquête et une documentation exceptionnelles, une peinture réaliste de la vie des premiers musiciens de jazz et du milieu de la pègre à la Nouvelle-Orléans, à Chicago, New York et Kansas City. Ronald L. Morris lève ainsi le voile sur un pan méconnu de l'histoire de la culture populaire. Les gangsters, conclut-il, se sont comportés avec les jazzmen comme les grands mécènes de la Renaissance : « Il n'y eut peut-être jamais, dans toute l'histoire de l'art, d'association plus heureuse. »
Paru le : 13/10/2016
Thématique : Jazz - Histoire et essais
Auteur(s) : Auteur : Ronald L. Morris
Éditeur(s) :
le Passage
Collection(s) : Echo
Contributeur(s) : Préfacier : Jacques Hess - Traducteur : Jacques Hess
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-84742-346-4
EAN13 : 9782847423464
Reliure : Broché
Pages : 318
Hauteur: 19.0 cm / Largeur 13.0 cm
Épaisseur: 2.2 cm
Poids: 240 g