Analyse les catastrophes naturelles au cours de l'histoire en montrant qu'à l'échelle de la longue durée, les phénomènes de changements climatiques et de réchauffement de la planète ne sont pas plus nombreux aujourd'hui et sont amplifiés par les médias et les scientifiques. Aborde la question de l'influence du climat et de ses phénomènes naturels sur l'action et la destinée des sociétés humaines. ©Electre 2025

Dans l'introduction de l'ouvrage vous trouverez "Il y a aujourd'hui un besoin urgent de comprendre les rapports entre nos sociétés et le climat. En particulier une question majeure s'impose : Le climat influe-t-il nos destinées, et cette influence est-elle en lien avec les grandes théories du moment, pour ne pas dire à la. mode, ou est-elle en rapport avec tous les faits, grands ou petits, catastrophiques ou favorables, qui font notre vie de tous les jours, dans des campagnes et dans des villes, parfois de plus en plus isolées de leur cadre naturel ?"

Cet ouvrage tente de répondre à cette question, sur des sujets où les médias nous abreuvent chaque jours, en analysant les documents météorologiques auxquels l'auteur est abonné depuis plus de trente-huit ans. Il a pour cela une formation scientifique de haut niveau, doctorat d'état, et un suivi continu de ces problèmes, publications scientifiques, chroniques radiophoniques pour lui permettre une analyse et un avis pertinent.

Il est courant d'entendre qu'il y a plus de catastrophes naturelles qu'avant, pourtant l'étude historique ne confirrne pas, l'auteur tente de faire comprendre pourquoi on peut avoir l'impression de cette augmentation en traitant de leur répartition dans le temps.

Il y a un énorme besoin de comprendre dans la population les calamités climatiques, et pourtant peu d'analyses, comme celles de l'auteur, tentent de décortiquer les paramètres atmosphériques qui les provoquent.

L'étude des situations atmosphériques des jours d'élections, de faits historiques, a permis de mettre en place des corrélations avec des facteurs climatiques qui dépassent la simple coïncidence.