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Depuis les années 1950, la communauté internationale doit s'adapter face aux relations chinoises et tibétaines, particulièrement en termes de droit, le problème principal restant la différence entre droit romain, droit asiatique et droit international. L'auteur fait le point sur la situation et sur les conséquences supportées par le peuple tibétain. ©Electre 2025
La question du Tibet en droit international
1950 : La Chine envahit-elle le Tibet qu'elle occupe depuis par la force ou le libère-t-elle de l'impérialisme féodal asservissant les Tibétains qui, dès lors, se satisferaient pleinement d'être « une minorité chinoise » au sens juridique et/ou politique du terme ?
L'opposition du gouvernement tibétain exilé, non officiellement reconnu par la communauté internationale, est-elle le fait de revendications séparatistes de l'ancienne caste bourgeoise et religieuse tibétaine ou est-elle l'expression d'un véritable problème de droit ?
Si la question sino-tibétaine se trouve être au carrefour des sciences politiques et économiques, des relations internationales, de l'histoire ancienne, contemporaine et immédiate, c'est en priorité en droit que se pose la nature des relations République populaire de Chine/Tibet.
Mais de quel droit parle-t-on ? Du droit chinois, tibétain, ou international ? En d'autres termes, quelles dissidences concrètes peuvent amener l'interprétation (voulue objective parce que désirée universelle mais souvent ressentie comme subjective) d'un droit de base romain face à une vision juridique asiatique ? En quoi l'étude du droit comparé peut-elle nous aider à apporter des éléments de réponses pour résoudre ce qui se pose comme un véritable conflit juridique contemporain et à vocation internationale ?
L'essentiel du débat consiste à comprendre dans quelles circonstances le droit international peut ou doit interférer (avec le droit chinois) et auquel cas, pourquoi l'ONU ne se fait pas plus remarquer tant sur le fond que sur la forme ; car il s'agit là d'un sujet qui dépasse largement les problèmes de frontières tibétaines ne serait-ce que par le devoir de conscience d'appartenir à une même famille : celle de l'homme à qui des droits sont théoriquement conférés...
Déterminer les voies conformes à l'éthique de l'ONU susceptibles de résoudre la question sino-tibétaine (dans l'hypothèse où nous aurons démontré que celle-ci se pose objectivement en tant que problème juridique stricto sensu), tel est le défi que se doivent de relever les tenants d'un droit (hypocritement dit ?...) international et universel...
Paru le : 05/01/2009
Thématique : Droit international
Auteur(s) : Auteur : Stéphane Guillaume
Éditeur(s) :
L'Harmattan
Collection(s) : Recherches asiatiques
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-296-07716-4
EAN13 : 9782296077164
Reliure : Broché
Pages : 305
Hauteur: 24.0 cm / Largeur 16.0 cm
Épaisseur: 1.7 cm
Poids: 320 g