Né comme Jean-Charles un treize, un homme mystérieux qui se fait appeler Franck, lui envoie par courrier un ensemble de récits qui pourraient l'intéresser. Il désire lui faire apparaître des coïncidences étonnantes sur ce qu'ils ont vécu tous les deux. ©Electre 2025

Né comme Jean-Charles un treize, un homme mystérieux qui se fait appeler Franck propose, d'une manière insolite au départ puis régulièrement, d'adresser à celui-ci par courrier un ensemble de récits qui pourraient l'intéresser ayant pris connaissance de ses publications dans diverses revues. Il désire lui faire apparaître des coïncidences étonnantes sur ce qu'ils ont vécu tous les deux. Ainsi avec Jean-Charles nous découvrons des personnages extravagants, tous porteurs de messages qui de main de Maître enchanteur vont nous conduire au bout de monde... rêve que nous avons tous fait un jour...

Gérard Olivier, alias Jean-Charles, alias Franck, le réalise, il nous embarque littéralement pour cette destination... Voyage spirituel, initiatique et philosophique au cours duquel une grande lumière se fait en nous, à l'intérieur.

Chavirés et intrigués, nous avons franchi les portes de véritables royaumes inconnus nous révélant l'univers de l'invisible. Les mots de Gérard véhiculent chaleur, générosité, avec une sorte de nécessité, d'évidence comme les veines véhiculent notre sang.

Secrets d'invisibles

« Quel homme habile dans le maniement de la pensée inachevée se cachait dans les coulisses de ce petit théâtre mis sous enveloppe ? A quel comédien avais-je affaire ? Quel rôle jouait-il dans cette pièce ? Qu'entendait-il en parlant de son identité, par cette phrase obscure : " pour des raisons délicates -  il avait bien précisé délicates - que je vous laisserai le soin de découvrir, j'ai toujours souhaité adapter mon identité aux missions officielles qui m'étaient confiées " ? Pourquoi m'écrivait-il tout cela, sans pour autant me dévoiler son nom de naissance ? Qu'entendait-il par : " je souhaite demeurer un de ces invisibles qui traversent le temps ? "

Cet arlequin de l'identité mouvante qui s'amusait à semer autour de lui des labyrinthes verbaux, ne pouvait être un homme ordinaire. Je trouvais toutefois qu'il en faisait trop. »