L'analyse de la dynamique des dépenses sociales depuis une vingtaine d'années montre que les pauvres ont été les premiers bénéficiaires d'une forte hausse du taux de scolarisation dans le primaire et du nombre de centres de santé de base. Il faut donc développer en priorité les services qui touchent déjà plus de 60% de la population pour les pauvres. ©Electre 2025
Etudes du Centre de développement Dépenses d'éducation et de santé, et développement : les cas de l'Indonésie et du Pérou
Lorsqu'ils fixent les priorités des dépenses publiques dans les secteurs de l'éducation et de la santé, les gouvernements des pays en développement optent trop souvent pour des programmes coûteux qui ne bénéficient qu'à des segments spécifiques de la population et, en général, pas aux pauvres. C'est le cas en particulier de certains hôpitaux urbains et des universités. En revanche, les pauvres tirent davantage profit des dépenses consacrées à des programmes à vocation universelle, comme la construction de dispensaires ou d'écoles maternelles et primaires en milieux rural et urbain. Cet ouvrage plaide pour une réorientation des politiques en faveur de dépenses publiques de santé et d'éducation favorables aux pauvres.
Paru le : 13/05/2002
Thématique : Economie internationale/mondialisation
Auteur(s) : Non précisé.
Éditeur(s) :
OCDE
Collection(s) : Etudes du Centre de développement
Contributeur(s) : Directeur de publication : Christian Morrisson
Série(s) : Non précisé.
ISBN : Non précisé.
EAN13 : 9789264287143
Reliure : Broché
Pages : 175
Hauteur: 23.0 cm / Largeur 16.0 cm
Épaisseur: 0.8 cm
Poids: 280 g
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