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Recueil de cinq récits parus pour la première fois en 1948, et qui sont autant de portraits-charge. ©Electre 2025
Du même auteur chez le même éditeur
« Gabriel Chevallier, c'est le gars qui avait publié cet immense succès, Clochemerle, qui conte les démêlés du maire, du curé, de l'instit, de la comtesse, etc. Peu importe Clochemerle. En 1914, Chevallier est mobilisé dans l'infanterie, blessé en 1915, démobilisé, comme les survivants, en 1918. En 1930, il publie La Peur, roman sur la boucherie de 1914. C'est un grand bouquin. Un très grand bouquin. Certes, vous n'y retrouverez pas la pâte hautaine du prussien Jünger, la mélancolie de Remarque ou de Dorgelès, ou la phrase parfois trop ourlée de Genevoix. Mais c'est un vrai roman de guerre, émouvant, avec un personnage jeune, fort et vivant. Qu'il s'agisse de la peur, la vraie, de la fausse bravoure, des rapports du front et de l'arrière, de la bêtise hypertrophiée des galonnés, le récit, à la limite du simple journal, est prenant et poignant. La Peur est l'antithèse des textes épiques, comme celui de Delteil, Les Poilus, pourtant un très beau texte. La peur est celle de Bardamu dans Le Voyage, le style en moins, la vérité en plus. À part chez Jünger, on ne lit pas une telle description des bombardements et du maelström des combats, à vous faire cogner la tête contre les murs. À pleurer de rage et à lire. »
Oncle Bernard, Charlie Hebdo
En 1948, dix-huit ans après La Peur, quatorze ans après Clochemerle, Gabriel Chevallier remet les couverts avec minutie et voracité, le temps de quelques portraits-charge : le colonel Crapouillot, un dur des durs qui « veut des morts » pour faire sérieux ; Tante Zoé dite « la Girafe », vieille fille pétomane ; Ernest Mourier, petit homme gris, as de l'homicide domestique ; viennent ensuite J.-M. Dubois, placier en cirage d'un noir égal à celui du marché où il finit par s'épanouir, et un vieux, « le vieux », crispé sur son or. Cela s'appelle Mascarade, aurait pu s'appeler aussi Tombons les masques ! ou Ecce Homo : l'homme dans tous ses états.
Dilettante n. (mot ital.). Personne qui s'adonne à une occupation, à un art en amateur, pour son seul plaisir. Personne qui ne se fie qu'aux impulsions de ses goûts. (Le Petit Larousse.)
Paru le : 06/10/2010
Thématique : Littérature Française
Auteur(s) : Auteur : Gabriel Chevallier
Éditeur(s) :
Dilettante
Collection(s) : Non précisé.
Série(s) : Non précisé.
ISBN : 978-2-84263-638-8
EAN13 : 9782842636388
Reliure : Broché
Pages : 317
Hauteur: 21.0 cm / Largeur 14.0 cm
Épaisseur: 2.6 cm
Poids: 394 g